Des pépins plein la tête et un noyau à la place du coeur
J’ai retrouvé Renata.
J’ai retrouvé Renata et une figure de jeunesse effacée dont elle fait un portrait double ou un double portrait.
Le sien à travers celui d’une personne qui a compté pour elle dans son adolescence tourmentée par
des questions évidentes de sexualité et de place que l’on souhaite occuper dans ce monde étrange.
Voici donc la synthèse de ces rencontres au passé.
Des pépins plein la tête et un noyau à la place du coeur
écrit entre juillet et septembre 2022
41 pages d’interrogations mais sans contrôle à la fin
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Tout doit disparaître
Si le registre peut sembler être toujours le même, redondant au possible ou bel et bien opportuniste dans ces temps incertains, cette courte nouvelle dévoile en fait un récit anodin d’un épisode de ma vie passée.
On y parle de carreau sale, d’Orangina et du Nord
tel que je l’ai connu avant de se perdre en conjectures et finalement (heureusement!) découvrir la vérité. C’est verbeux, mais ne remerciez pas une lecture récente de Thomas Bernhard pour ça.
Tout doit disparaître
écrit entre juin et juillet 2022
Pastille comme celle qu’on trouve dans les WC de 13 pages
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Des cadavres donnant la pièce au croque-mort
La fin de ce monde est une chose sûre, prédite depuis le Livre Premier. Notre rachat me semble moins certain cependant.
Quoiqu’il en soit, tous les détails de notre futur vous seront dévoilés dans les aventures d’un jeune garçon à la curieuse origine et au
destin funeste.
A la poursuite de toutes les dérives, lisez l’Histoire qui sombre vers sa propre fin.
Des cadavres donnant la pièce au croque-mort
écrit entre mars et octobre 2020
Longue nouvelle à plusieurs têtes de 116 pages
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Pourquoi nous sommes tous perdus
Dans le plus pur jus des nouvelles protéiformes de la maison, j’ai tenté de répondre à cette question que tout le monde se pose.
On y rencontre des gens charmants, comme deux ados attardés qui trouvent que les prouts sont rigolos, une liste de choses à ne pas oublier, des personnages morts à crédit
ou d’autres ne cherchant pas l’amour avant de rencontrer le vrai créateur des Smarties. Bref, un beau délire postmoderne entre Prague, l’Espagne, le Mexique et les restes d’un monde malade.
Pourquoi nous sommes tous perdus
écrit entre mars 2019 et février 2020
Réponse en plusieurs tentatives durant 80 pages
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Confession à perpétuité
Ce sont de petits riens qui mis bout à bout acculent et poussent les êtres à l’explosion. Dans cette nouvelle, un crime odieux va avoir lieu et pousser dans différentes directions ses membres.
Coup d’essai plein de petites expérimentations, cette nouvelle vous fait passer subtilement dans les coulisses de l’écriture et à l’intérieur de ses personnages.
Confession à perpétuité
écrit entre octobre 2017 et août 2018
Crime et châtiment en 36 pages
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L’enculeur de mouche
Benito est un sacré fils de … que j’ai rencontré dans mon enfance, aussi j’ai pensé qu’il méritait son quart d’heure de gloire, à lui tout seul. Après tout, comme un illustre autre Benito, ce mal aimé
va tenter d’asseoir ses deux grosses bourses sur notre front, et de quelle manière s’il vous plaît !
Je vous raconte les faits.
L’enculeur de mouche
écrit en décembre 2017
Portrait brossé de 8 pages
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L’image vérité
Est-ce l’ampleur et la symbolique de l’événement ou le bouleversement d’une habitude infantile solidement ancrée qui a fait volé en éclats le monde tel que je le connaissais ? J’ai vu comme beaucoup le 11
septembre 2001 depuis l’appareil qui nous hypnotisait, seulement cette fois, il a bien fallu nous rendre à l’évidence : aucun film ne collait avec notre trop dramatique réalité.
L’image vérité
écrit fin 2017
Turning point de notre siècle décrit en 5 pages
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Un condensé de la brève histoire de tout l'espace infini qui nous sépare
J’ai connu bien des filles, et beaucoup ont fait un trou dans ma vie.
Mais aucune n’a fait de trou comme Caroline.
Récit de disparitions autour du collège, avec son titre à rallonge prêt à faire rougir David
Foster Wallace, ne serions-nous pas là les témoins d’une disparition ? Celle de notre innocence et de notre naïveté.
Un condensé de la brève histoire de tout l'espace infini qui nous sépare
écrit entre mars 2017
Réalisme magique de 13 pages
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Romance gitane
Le dimanche avant midi, en route vers un repas aussi dominical que familial, je traversais avec mon père les bleds du Pas-de-Calais, passant devant d’innombrables troquets devant lesquels se garaient une vaste collection de beaux vélos de course.
Cette destination étonnante des sportifs locaux m’a inspiré des années après cette
nouvelle en cinq parties.
Sur fond de fait divers comme on pouvait en lire dans les journaux de ma jeunesse, j’ai mis des mots sur un scénario qui me hantait depuis 2013, entre rires et drame.
Romance Gitane
écrit en 2016
Nouvelle pour les plus vaillants de 52 pages
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Le trou du cul du monde
C’est le matin, vous vous réveillez et quelque chose ne va pas. Vous êtes barbouillé, lourd, pâlot et vous avez envie de chier, à l’heure, comme tous les jours. Eh bien aujourd’hui, ce n’est
pas tous les jours messieurs dames. Aujourd’hui l’Histoire s’est levée aussi, et du mauvais pied, elle se met en marche, et elle vient vous tomber sur le coin du nez.
Le trou du cul du monde
écrit en 2014
Les mauvaises nouvelles du jour en 3 pages
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Maman et papa n’ont jamais voulu de toi
Au premier regard, Jean-Marie ne plaît pas à tout le monde. Pourtant, il est un peu comme vous, ou comme moi, puisqu’il est un personnage que j’ai imaginé. En deux temps, j’ai essayé de lui donner corps et âme dans
des écrits un peu dégoutants et crus, à l’image de mes lectures sans doute.
Maman et papa n’ont jamais voulu de toi
écrit en 2012 et 2015
Deux parties pour 4 malheureuses pages
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Time for Heroes
J’ai mis bien des années avant de mettre des mots sur mes maux.
Ni tout à fait une nouvelle, ni vraiment un essai, avec Time for Heroes, naissait un nouvel essai de prose, plus éloigné des
territoires de la fiction que j’explorais à tâtons sans m’y retrouver. Avec Time for Heroes, j’ai peut-être trouver le ton de ce que j’allais écrire, bien des années après.
Time for Heroes
écrit en 2011
Souvenirs amers de 4 pages
À lire et télécharger ICI
Attention. Toute ressemblance avec des personnes, lieux ou situations ayant réellement existés ne saurait être que fortuite. Ce que vous lisez en ce moment-même est un avertissement, une mise en garde, sur votre lecture prochaine de nouvelles, et comme chacun sait, les livres ne sont pas la réalité. Les livres ne sont qu'un ersatz foireux issu de la réalité, contenu sur un médium, lui, tangible. Ce ne sont qu'un ramassis d'histoires facétieuses à devenir écrivain poursuivant ainsi la tâche fastidieuse de perpétuer la voix unique — mais pas moins humble — à l’oeuvre, depuis ses prédécesseurs. Reste que tout ceci n’est qu’œuvre de pure fiction. Genre, vraiment. Et une fiction relève par définition du domaine de l'imaginaire et de l'irréel. Donc tous les noms, caractères et dates contenus dans ces nouvelles pouvant se rapprocher de faits ayant réellement existés ne pourront être imputé qu'à l’imagination débordante du lecteur et non à la présupposée biographie/connaissance/expérience de l'auteur qui, par son travail acharné et quelques trucages – récurrents dans le monde de la littérature – afin de rendre « plus réel » son récit, n'en écrit pas moins de lamentables œuvres de pure fiction afin de s’en divertir.
« Aucun rapport avec aucune réalité. »